vendredi, 06 janvier 2006
Souverainement contrelittéraire
Paul-Marie Coûteaux, dans le numéro de décembre 2005 de son journal L’Indépendance fait longuement allusion à la Contrelittérature dans un article intitulé : "De la réforme intellectuelle et morale : l’éclosion d’une génération nouvelle".
Après avoir cité pêle-mêle quelques revues et journaux, Paul-Marie Coûteaux conclut chaleureusement: “ Finissons avec le trimestriel Contrelittérature, emblématique de l’ensemble et qui rassemble des plumes de haute tenue telles Marikka Devoucoux, Philippe Barthelet, David Gattegno, Luc-Olivier d’Algange, Juan Asensio. Cette équipe vient de publier aux éditions du Rocher un imposant Manifeste pour l’esprit. Le fondateur de Contrelittérature, Alain Santacreu, écrit : “Être en avance sur le temps lui-même ne se conçoit que dans une vision traditionnelle d’un temps qui ne serait plus linéaire. Bien sûr, il ne s’agit pas de cette tradition sclérosée, sectaire, intégriste, figée dans son refus névrotique du présent, mais de la vraie Tradition, authentique et éternelle, dynamique et évolutive dans ses différentes formulations de races et d’époques. Car la Tradition n’est pas conservatrice mais révolutionnaire au sens propre du terme : elle n’est pas ce qui a déjà eu lieu mais ce qui toujours sera, retournant toujours à son Principe”. Et Paul-Marie Coûteaux de recommander l' "avant-dire" de Philippe Barthelet, intitulé “Mensonge littéraire et vérité angélique”, en relevant cette phrase essentielle: “La littérature s’est érigée en monde parallèle fait pour les hommes parallèles que nous sommes devenus”.
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