Franc-maçonnerie et Contre-initiation
LES OBÉDIENCES OBSCURES
Alain Santacreu
Si l’on en croit l’Ecclésiaste, il y a « un temps pour se taire, et un temps pour parler ». Pour Michel Maffesoli, le temps est venu de parler et de dénoncer la dérive du Grand Orient de France, obédience dans laquelle il fut initié franc-maçon : « Étant resté cinquante ans dans cette obédience, j’ai donné ma démission le 10 novembre 2022 et ai été exclu quelques jours après par ce qui s’appelle la Chambre suprême de justice maçonnique, une chambre disciplinaire n’appartenant pas à l’ordre judiciaire » (23)1
Que lui reproche-t-on au juste ? D’avoir enfreint le politiquement correct, en s’exprimant trop librement sur la crise sanitaire, à travers les médias et dans ses derniers livres, L’ère des soulèvements et Le temps des peurs. Les inquisiteurs du GODF ont déploré qu’il ait osé critiquer la « juvénilité » de notre président de la République, Emmanuel Macron. L’obédience s’est ainsi comportée comme une officine gouvernementale, en montrant « une soumission généralisée à toutes les injonctions étatiques, fussent-elles les plus liberticides et antidémocratiques. En particulier lors de la récente psycho-pandémie. » (15)
Lorqu’on aborde la question de la franc-maçonnerie, il faut toujours au préalable distinguer entre l’Ordre et les obédiences. En effet, comme l’affirmait Marius Lepage, anarchiste et franc-maçon : « l’Ordre n’est pas l’obédience. » Toutefois, depuis leur apparition au tout début du 18e siècle, les obédiences historiques se sont substituées à l’Ordre immémorial, si bien que la franc-maçonnerie moderne dite “spéculative” n’aura jamais eu qu’une existence obédientielle, l’Ordre maçonnique ayant été subverti, de la même façon que le christianisme l’a été par les Églises.
L’Ordre dans son essence est métaphysique et, dans sa manifestation, il est traditionnel. La manifestation de l’Ordre est réelle ; qu’il n’ait pas laissé de traces autres que celles de la subversion obédientielle, ne signifie pas qu’il n’ait jamais existé : certaines églises médiévales, du moins celles non encore incendiées, en portent toujours les marques opératives.
C’est le 26 juin 1717 que quatre Loges de Londres décidèrent de s’agréger en corps organisé. Les historiens s’interrogent toujours sur les motifs réels de cette union, le fait est que la franc-maçonnerie obédientielle était née sous l'égide anglo-saxonne. Ce fut-là une forfaiture par laquelle l’Ordre fut irrémédiablement trahi et son plus noble “landmark” bafoué : « Le Maçon libre dans la loge libre ». Rarement naissance tenue pour glorieuse ne fut plus obscure ! Les temps des chamailleries et des discordes obédientielles étaient ouverts, cela commença en Angleterre entre les « Moderns » et les « Antients », puis passa très vite dans les obédiences apparues à l’étranger, particulièrement en France. L’histoire des obédiences ne sera jamais que celle de leurs schismes et de leurs querelles car elles ne sont que vanité et quête du pouvoir.
Dans toutes les obédiences maçonniques une hiérarchie administrative s’est substituée à la hiérarchie initiatique. Maffesoli rapporte qu’au Grand Orient la réflexion des tyranneaux administratifs est devenue obsessive : « Il est fréquent d’entendre les instances dirigeantes des divers conseils ou convents du Grand Orient s’interroger sur le “chemsex” (contraction de chemical et sex), le « MTV » (acronyme de méthamphétamine, Truvada, Viagra) ou les questions LGBT+ » (27), autant de thèmes éminemment initiatiques, comme on le voit ! L’auteur ajoute que « les travaux des loges portent, presque exclusivement, sur des sujets à la mode : fin de vie, valeurs républicaines, genre, race et autres expressions du “wokisme” contemporain. » (135)
Cependant il serait bien naïf de croire que les discussions des métalliques franc-maçons de la rue Puteaux, ceux de la Grande Loge de France ou d’autres obédiences soi-disant « traditionnelles », puissent être plus spirituelles. C’est pourquoi le pamphlet de Maffesoli, s’il témoigne d’un courage que l’on doit saluer, reste toutefois l’expression d’une dissidence contrôlée. Durant la « fausse pandémie », a-t-on entendu la voix d’un seul responsable de ces « obédiences symboliques dont la sagesse est enracinée profondément dans la tradition »? (34) En quoi ces obédiences louées par l’auteur, « Grande Loge de France, Grande Loge Nationale Française, Grandes Loge de l’Alliance maçonnique, Grande Loge traditionnelle de France, Grande Loge des cultures et de la spiritualité », ce sont-elles comportées plus dignement et montrées moins serviles que le Grand Orient ? n’ont-elles pas aussi par leur mutisme participé à la fabrication du scénario de la peur covidiste ? Si « l’épisode de la gestion de la psycho-pandémie a montré comment le “club de la rue Cadet” a pris une voie substituée » (33), il ne semble pas que les « obédiences symboliques » aient emprunté une voie bien plus intègre, et leur silence, lors de la répression du mouvement des « gilets jaunes », ne fut pas moins assourdissant que celui de la rue Cadet. En cela nous ne suivrons pas l’auteur pour qui ces obédiences « sont fondées sur la Tradition et la confraternité d’antique mémoire, celle de la maçonnerie ésotérique » (154).
Le pamphlet de Maffesoli est émaillé d’anecdotes exemplaires. Comme celle-ci qui montre l’esprit clubiste dans toute sa splendeur : « J’ai ainsi le souvenir d’un ancien Grand Maître utilisant certains appuis politiques, et me demandant d’intervenir au plus haut niveau, où j’avais, à l’époque, quelques ouvertures, pour tenter de devenir ministre de l’Éducation nationale. Ce fut en vain. Il est vrai que, quand on lui demandait ce qu’il aimerait faire au cas où il accèderait au poste, il répondait “favoriser l’égalité des chances”. Ce qui n’est guère original (112). » C’est à se demander comment notre auteur a pu persévérer si longtemps dans un tel marigot d’imposteurs !
Selon Michel Maffesoli, il y aurait donc deux franc-maçonneries, une vraie, symbolique et traditionnelle, et une fausse, affairiste et profane dont le Grand Orient serait le parangon. Mais l’auteur ne remet pas pour autant en cause l’institution obédientielle. On peut cependant considérer que, s’il y a une initiation maçonnique acceptable, elle ne concerne que les “grades bleus” de la franc-maçonnerie symbolique issus du compagnonnage opératif, les « hauts-grades » n’étant que des inventions théâtrales de l’esprit obédientiel du XVIIIe siècle. En effet, toutes les obédiences, tous rites confondus, prônent une hiérarchisation d’initiés supérieurs, un élitisme « théâtrocratique », pour parler comme Maffesoli, c’est-à-dire « contre-initiatique », si l’on reprend le vocabulaire de René Guénon : « La contre-initiation s’applique à introduire ses agents dans des organisations pseudo-initiatiques, qu’ils inspirent à l’insu de leurs membres ordinaires. »2
Les obédiences peuvent-elles encore retrouver les racines initiatiques dont l’Ordre est le porteur ? Ce serait une grave erreur de le croire et ce fut celle d’un René Guénon d’avoir entretenu cette espérance chez de sincères et honnêtes hommes de désir. Les obédiences n’ont jamais été reliées à l’Ordre. Le secret de la franc-maçonnerie obédientielle, qui se découvre dans les derniers hauts-grades, soi-disant uniquement "administratifs", vise à atteindre le "dédoublement psychique provoqué" et se place sur la voie des plans magiques de l’astralité. La lumière psychique n’est pas la lumière spirituelle. Cette remarque vaut aussi pour les obédiences qui prétendent pratiquer des rituels chrétiens, comme le R.E.R (Rite Écossais Rectifié). Les équivalences des hauts-grades entre R.E.A.A et R.E.R témoignent de leur commune imposture initiatique3. À ce sujet, on citera encore Guénon pour ces paroles clairvoyantes : « Il faut prendre garde à ceci : l’initiation représente véritablement et légitimement l’esprit, animateur principiel de toutes choses, tandis que, pour ce qui est de la “pseudo-initiation”, l’esprit est évidemment absent. Il résulte de là que l’action exercée, au lieu d’être réellement “organique”, ne peut avoir qu’un caractère purement mécanique4 ».
Contrairement à la pseudo-initiation obédientielle, l’initiation des anciens francs-maçons opératifs était d’ordre spirituel. La franc-maçonnerie dite “spéculative” a toujours combattu l’Ordre initiatique, tentant par tous les moyens de le réduire au silence. Dans la franc-maçonnerie compagnonnique médiévale, sept Anciens détenaient le secret maçonnique. Lorsqu’un des sept mourrait, les six autres cooptaient un successeur. Il en serait de même dans une franc-maçonnerie restée invisible, émanation de l’Ordre initiatique : les gardiens du "trésor caché", au nombre de neuf, se réuniraient régulièrement, dans différents endroits du monde, à la Saint-Jean d’hiver, fête solsticiale de la lumière spirituelle renaissant des ténèbres. Bien sûr, les grands maîtres et les administratifs de la franc-maçonnerie obédientielle ne pourraient en faire partie, puisque les psychiques ignorent jusqu’à l’existence des spirituels. Il existerait donc une franc-maçonnerie invisible, comme il y a une « Église invisible », pour reprendre le titre d’un article écrit par Michel Maffesoli5.
Cependant, malgré la chape bureaucratique des obédiences, on trouve sans doute encore de vrais initiés dans les loges, comme il y a aussi des mystiques et des saints dans l’Église romaine inquisitoriale et apostate. C’est pourquoi Maffesoli préfère laisser entrouverte la porte de certaines obédiences qui, d’après lui, pourraient servir de refuges aux déçus de la franc-maçonnerie politicarde, mais il est difficile de le suivre quand il affirme que ces « obédiences gardent intact le trésor maçonnique en son intégralité » (39). Sur ce point, il ne reste pas fidèle à son « maître et ami », l’anthropologue Gilbert Durand, « Franc-maçon également, mais ayant toujours refusé la notion même d’obédience. » (79)
Selon Maffesoli, la franc-maçonnerie authentique est celle de la philosophie des Lumières radicales, fondée sur la sensibilité libertaire de l’affectio societis, la recherche constante du dialogue et de « cette logique contradictorielle, chère à Stéphane Lupasco et à Gilbert Durand, dans laquelle le contraire n’est pas dépassé en synthèse, mais contribue à l’architectonique complexe de la vie sociale. » (71) Il ne faudrait pas toutefois assimiler cette philosophie avec l’initiation maçonnique proprement dite qui consiste en la réception d’une influence spirituelle potentielle (Guénon dirait « virtuelle »). Bien sûr, nous ne pouvons qu’être d’accord avec Maffesoli quand il affirme : « Je considère qu’un maçon digne de ce nom est structurellement libertaire. » (150) mais cela ne signifie pas que tout maçon libertaire soit réellement initié, même si l’on peut dire que tout véritable initié est libertaire.
Malgré sa sympathie pour l’anarchisme6, Michel Maffesoli n’a pas explicitement relevé que l’abâtardissement initiatique, provoqué par « le glissement du symbolique au sociétal », a aussi servi à évacuer du GODF l’esprit traditionnel de l’idée libertaire : la « voie substituée » n’est pas seulement la substitution du profane au sacré, mais encore la substitution d’un socialisme mondialiste néo-capitalistique au socialisme anarchisant issu du compagnonnage originel. Les maillons libertaires de la « chaine d’union » ont été brisés7. Il aurait fallu envisager cette double dimension, initiatique et anarchiste, de la « voie substituée ». Peut-être ne serait-il pas inintéressant à ce propos de faire le parallèle avec la critique de Murray Bookchin, dans Changer sa vie sans changer le monde, sur le passage de l’anarchisme social au post-anarchisme sociétal, émergeant dans les années sixties du siècle dernier et immédiatement récupéré par l’éthos libéral-libertaire du néo-mondialisme. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas se hâter de souscrire aveuglément à la thèse du « socialo-occultisme » forgée par Philippe Muray dans Le 19e siècle à travers les âges (Denoël, 1984) car, si les socialistes anarchistes de 1848 furent en effet nombreux à adhérer à l’erreur spirite, cela participait d’une subversion méthodiquement orchestrée et planifiée de l’anarchisme social par le conditionnement idéologique d’une obédience marxisante alors en plein essor. L’éviction de l’influence de la pensée anarchiste au Grand Orient renvoie à l’exclusion, dans la Première internationale, des travailleurs proudhoniens et bakouniniens par les administrateurs marxistes : « Développement d’obédience marxisante, faisant des bureaucrates du “club” des directeurs de conscience ne défendant que leur propre caste. Bureaucrates permanents qui avec leurs faces blettes font ce qu’ils peuvent, c’est-à-dire rien. » (126)
De façon plus synthétique que dans son Trésor caché8, Maffesoli expose sa conception philosophique de la franc-maçonnerie et l’on retrouve, dans son pamphlet, les grands concepts de son œuvre de sociologue : la nostalgie du passé, L’écosophie, l’enracinement dynamique, la socialité, la progressivité, etc. Parmi toutes ces notions essentielles, la distinction entre pouvoir et puissance apparaît primordiale : « Il est une distinction que je fais depuis mes premiers ouvrages entre pouvoir et puissance. La puissance est instituante, le pouvoir est institué. Le pouvoir est aux mains de ceux qui l’exercent, monarque, élus, décideurs divers, tous ceux qui ont le pouvoir de dire et de faire. La puissance est ce qui émane du peuple, ce qui est la base de la vie sociale, de la cohésion sociale. » (95)
Dès 1979, avec La Violence totalitaire, Michel Maffesoli a développé son analyse de l’antagonisme fondamental entre le pouvoir politique et la puissance communautaire. La postmodernité serait l’actualisation de cette puissance native, force primordiale qui ressurgit, à travers la sensibilité organique du peuple, gardien de la tradition associative immémoriale : « Quand le pouvoir n’est plus soutenu par la puissance populaire, il y a discordance. À l’heure actuelle, les instances dirigeantes du Grand Orient suivent la doxa du pouvoir politique et économique qui n’est plus en phase avec les aspirations populaires, avec l’imaginaire populaire, avec la puissance populaire » (95). L’organicité postmoderne de la puissance du peuple s’oppose ainsi à l’individualité moderne du pouvoir des classes dominantes : contre le pouvoir des obédiences, l’Ordre demeure le gardien de la puissance de « l’âme collective ».
La référence à Gilbert Durand est récurrente tout au long de l’ouvrage. Il n’est pas anodin que Maffesoli signale que son « maître Gilbert Durand ralluma la flamme de l’ancienne Loge de Joseph de Maistre, “Les Trois Mortiers”, à Chambéry. » (19) Même s’il s’en tient, par stratégie, à une dissidence contrôlée, ce pamphlet de Michel Maffesoli doit être considéré comme un événement majeur dans l'histoire de la franc-maçonnerie car il ouvre la perspective d’une franc-maçonnerie postmoderne qui se relierait de nouveau avec « l’aspect irréfragable de l’Ordre » (66). Le nouvel esprit anthropologique, dont Gilbert Durand fut un des principaux antécesseurs, nous en fournit la pierre d’angle, ayant réintégré dans son cursus l’anthropologie traditionnelle de structure ternaire (corps-âme-esprit) qui nous ouvre à cette « philosophie progressive » (19), et non progressiste, libératrice de tous les dualismes totalitaires9. La franc-maçonnerie initiatique se fonde sur le secret de la transmission de la vie en esprit. Mais le Dieu trinitaire des bâtisseurs, issus des confréries égyptiennes, pythagoriennes et gnostiques, n’est pas celui de l’Église de l’inquisition romaine qui condamna les confréries maçonniques en 1189 au concile de Rouen.
Pierre Kropotkine, a souligné que l’homme de la civilisation romane du XIIe siècle était « essentiellement fédéraliste. Homme de libre initiative, de libre entente, d’unions voulues et librement consenties. Il voyait en lui-même le point de départ de toute société. Il ne cherchait pas son salut dans l’obéissance, il ne demandait pas un sauveur de la société10. » L’ordre initiatique des maçons opératifs s’est manifesté à cette époque romane. L’organisation des villes libres du Moyen-âge, étapes obligées du voyage compagnonnique, constitue ce point d’équilibre de référence entre l’affirmation individuelle de la liberté et le lien communautaire de l’entraide. Ce point d’équilibre civilisationnel, Simone Weil l’a aussi magistralement pointé : « Le mouvement qui détruisit la civilisation romane amena plus tard comme réaction l’humanisme. Arrivés au terme de ce second mouvement, allons-nous continuer cette oscillation monotone et où nous descendons chaque fois beaucoup plus bas ? N’allons-nous pas tourner nos regards vers le point d’équilibre ? En remontant le cours de l’histoire, nous ne rencontrons pas le point d’équilibre avant le XIIe siècle.11
L’anarchisme véritable n’est pas un nihilisme : il n’y eut pas de contradicteur de Netchaïev plus éloquent que le franc-maçon Michel Bakounine. Le nihilisme d’aujourd’hui est en réalité le transhumanisme, aboutissement logique de l’idéologie moderniste et progressiste qui vise jusqu’à l’anéantissement de la mort. Or, nier la mort, c’est nier la connaissance initiatique car l’initié met en pratique l’authentique Règle bénédictine : « Avoir la mort chaque jour devant les yeux ». La mort qui transcende l’ordre du psychologique ouvre l’homme à l’ordre du spirituel.
Michel Maffesoli a bien montré que la mise en œuvre de la psycho-pandémie se fondait sur la stratégie de peur de la mort. Dans L’histoire de la mort en Occident, Philippe Ariès relève l’apparition, dans la seconde moitié du vingtième siècle, d’une « mort interdite », taboue, qu’il qualifie de « phénomène inouï » et de « révolution brutale des idées et des sentiments traditionnels ». Cette négation de la mort annonce un processus de transformation de l’espèce humaine qui se déroule inexorablement dans un sens contraire à celui de la vision initiatique de la vie. Entre le transhumanisme wokiste du GODF et l'humanisme réactionnaire de Michel Maffesoli se joue la possibilité d'une véritable surrection de l'authentique franc-maçonnerie libertaire. Si l'ordre est l'initiation, les obédiences sont la contre-initiation : Monsieur Maffesoli, encore un effort pour être franc-maçon !
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Les chiffres entre parenthèses renvoient à la pagination de l’ouvrage.
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René Guénon, Le Règne de la quantité et les Signes des temps.
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Par exemple : le Chevalier Bienfaisant de la Cité Sainte du Rite Rectifié équivaut au Sublime Prince du Royal Secret (25° et dernier degré du Rite de Perfection) et au Souverain Grand Inspecteur Général (33° et dernier degré du Rite Écossais Ancien et Accepté.-
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René Guénon, Le Règne de la Quantité et les Signes des temps.
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Michel Maffesoli, "L’Église invisible. Gnose et anarchie", in Contrelittérature n°5, 2022.
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Il m’a fait l’honneur de préfacer mon livre, En quête d’une gnose anarchiste, Éditions Contrelittérature, 2023.
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Cf. Les anarchistes dans la Franc-Maçonnerie., de Léo Campion, Culture et liberté, 1969.
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Michel Maffesoli, Le trésor caché : Lettre ouverte aux francs-maçons et à quelques autres, Léo Scheer, 2015.
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Je me permets de renvoyer à mon texte, "Anthropologie fondamentale pour une gnose anarchiste", in En quête du gnose anarchiste, Contrelittérature, 2023.
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Pierre Kropotkine, "L’État, son rôle historique", in La science moderne et l’anarchie, Stock, 1913, p. 203.)
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Simone Weil, "En quoi consiste l’inspiration occitanienne ?" dans Oeuvres complètes, t. IV, Gallimard, 2009.